Razibus Concerts, manifs, festivals
Punk, Ska, Hardcore...

• Vietcong Pornsürfers (Power Punk - Suède)
  Vietcong Pornsürfers est né en 2007 et se compose de quatre Suédois. Le groupe a commencé simplement pour compenser le manque de groupes de Rock bruts. 2010 est l'année de sortie de leur premier album, Restless, Young, Hungry and Free, sur cassette ! L'album est très bien accueilli et sort sur CD au printemps 2011sur le label italien Street Symphonies. À la fin mai Vietcong Pornsürfers sortira son 2ème album, We spread diseases. L'album connaît par la suite un succès fou. Une édition limitée de 7 vinyles sera également disponible, avec une chanson exclusive : Out Of Control. Le single sera le coup d'envoi d'une longue tournée de deux mois. Pour la 3ème fois maintenant, les Vietcong Pornsürfers se rendront dans toute l'Europe, dans leur bus de tournée. Ils on également écumé les salles de concerts dans toute la Suède et le reste de la Scandinavie. Les derniers étés ont été bien remplis avec des festivals, y compris Peace and Love Festival, Getaway Rock Festival et Rockstad: Falun, et bien d'autres. Pas de bêtises, Vietcong Pornsürfers sait comment accrocher son public et livrer airs de Rock kick-ass dans le style punk à la Gluecifer, Deadboys et Iggy & The Stooges.
  http://www.vietcongpornsurfers.com
• Becky Lee & Drunkfoot (Garage one woman band - Tempe, Arizona)
  Becky Lee, dont la réputation commence à filtrer en France, où elle a peu tourné, grâce au soutien sans faille du Reverend Beat-Man et à un noyau dur de fans dévoués, mérite pour une fois ce vieux poncif de l'artiste inclassable, atypique et paradoxale. Souvent timide et empreinte de doutes, féminine jusqu'aux boucles d'oreilles en plume, presque à fleur de peau parfois, elle est pourtant aussi une professionnelle aguerrie, et une aventurière, non seulement l'une des rares femmes à se produire en one(wo)manband, mais aussi peut-être la seule à tourner en permanence, sans personne à ses côtés, SDF comme les plus purs et durs de ses confrères masculins. Musicalement, elle est peut-être avant tout une songwriter de classe, dont certains des morceaux - vous en avez entendu deux sur Femina du Legendary Tigerman - ont été repris par plusieurs groupes plusieurs années avant son premier enregistrement officiel (il est vrai retardé déraisonnablement par l'effet conjugué de ses doutes et de son exigence). Mûrs, limpides, inlassablement re-travaillés et apurés par une musicienne aux très larges influences, ils sont immédiatement reconnaissables par les élégances conjointes de la musique et des textes. Becky Lee est aussi, notablement, une fine interprète tant aux percussions qu'à la guitare. Son jeu sobre, avant tout attentif à la couleur des sons, s'appuie sur une technicité onemanband très précise (essayez un peu de jouer des toms à la baguette en même temps que de la guitare) et déploie une riche assise rythmique, tour à tour trépidante et discrète; seule l'ancienne danseuse professionnelle qu'elle est irait exercer envers son jeu de pied la sévérité toujours insatisfaite qui lui a fait surnommer celui-ci "drunkfoot". Mais ce dont tous ceux qui l'ont entendue live vous parleront, c'est de sa voix, flexible, chaude, riche de mélismes et allant chercher la fragilité sans jamais s'y briser. Ni vraiment dans les canons du Rock, ni dans ceux du Blues ou de la Country, elle est marquée de ce style et de ces phrasés typiques aux meilleures voix féminines du sud des États-Unis, que l'on retrouve chez des chanteuses aussi différentes que Janis Joplin ou Aretha Franklin, et qui sont dans l'essence même de ces trois genres.
  http://www.voodoorhythm.com/BECKY_LEE_AND_DRUNKFOOT.html

À partir de 21h - 2€